Salaire des députés : Augmentation de 30 %. Détails
Troisième lien : Abandonné après des millions gaspillés. Détails
Northvolt : Investissement de plusieurs millions et c'est la faillite. Détails
Lion Électrique : Investissement dans une compagnie qui fait elle aussi faillite. Détails
SAAQclic : Fiasco, ça ne marche pas et dépassement de coûts jamais vus. Détails
Les Kings à Québec : Encore 5 M$ d'argent public pour accueillir une équipe de millionnaires. Détails
Santé Québec : Une nouvelle société d'État complètement inutile qui gonfle les dépenses du gouvernement et qui ne semble pas être efficace. Détail
Taxe carbone : A été abolie partout au Canada sauf au Québec. Détail
Pipeline au Québec : Il n'y en aura pas (raison : pas "d'acceptabilité sociale"). Détail
Stablex : Expropriation et vente de terrains sous le bâillon pour entreposer des déchets américains (pourtant, il n'y avait aucune acceptabilité sociale). Détail
Hôpital Maisonneuve-Rosemont : C'est délabré, ça tombe en morceaux. À cause de toutes ces dépenses inutiles, on doit reporter à une date indéterminée l'agrandissement et la modernisation de l'établissement. Détail
Déficit record : Le Québec fait face à un déficit record de 13 600 000 000 $. Détail
Baisse de la cote de crédit du Québec : Pour la première fois en 30 ans, la cote de crédit du Québec a été revue à la baisse. Il fallait s’y attendre, compte tenu du contexte budgétaire actuel. Cette décision pourrait se traduire par une augmentation des coûts d’emprunt pour le gouvernement. Détail
La CAQ s’est souvent vantée de sa gestion, mais plusieurs de ses décisions financières ont été de véritables échecs. Que ce soit le troisième lien abandonné après des millions gaspillés, le fiasco de SAAQclic, ou encore l’échec de Northvolt et de Lion Électrique, où des investissements massifs n’ont pas donné les résultats promis, le manque de vision est flagrant. On lance des projets sans réelle planification, on improvise, et quand ça tourne mal, les responsables quittent leur poste sans rendre de comptes. Pendant ce temps, c’est la population qui paye la facture. Une gestion marquée par l’amateurisme et l’absence de responsabilité.